Passez donc me voir... Je partage ma bibliothèque virtuelle. Je vous réserve ainsi des surprises à découvrir régulièrement au fil du temps... Un regard nouveau par l'entremise de photos, de musiques, de poésies, de vidéos, d'astuces et de publications variées. Un rendez-vous avec une page différente au gré de mes découvertes ou créations. Un nouvel ami pas si virtuel que cela avec lequel vous aimerez partager un moment. Bonne découverte.

Créer des sonneries pour son téléphone



L'astuce du jour

Vous avez la même sonnerie de téléphone mobile 
que plusieurs de vos collègues de bureau et cela vous agace ? 
La solution : 
en créer une à partir d'un simple fichier MP3. 
Votre chanson préférée par exemple. 
Vous pouvez en effet, facilement et gratuitement, personnaliser la sonnerie de votre téléphone, 
quel que soit son système d'exploitation 
(Apple, Windows, Android ou Symbian). 
Suivez le guide.


Nous avons choisi de créer une sonnerie en partant d'une musique au format MP3 
La première étape consiste à sélectionner un extrait de votre fichier musical. 
Nous avons pris le parti d'effectuer cette opération en ligne sur le site Mp3cut.net, 
qui a le mérite de la simplicité. 
Mais il existe de nombreux logiciels pour réaliser cette opération.

1- Rendez-vous à l'adresse 
http://mp3cut.net
Sur la page d'accueil, dans la section 1, cliquez sur le gros bouton orange Upload mp3.

2- Dans la boîte de dialogue qui s'affiche, 
naviguez jusqu'au dossier renfermant votre morceau, 
sélectionnez-le, puis cliquez sur le bouton OK. 
Patientez pendant le transfert de votre fichier sur le site.

3- Dans la section 2, sous la ligne de temps,
déplacez les deux curseurs roses afin de sélectionner la plage de musique que vous désirez conserver. 
Pour le début, choisissez de préférence la reprise du tempo, 
de la mélodie ou de la voix pour avoir un son « propre » 
quand votre mobile se mettra à sonner. 
Dans tous les cas, veillez bien à ce que la durée, 
calculée en soustrayant la valeur du curseur de début à celle de celui de fin, 
n'excède pas 30 secondes.

4- Cliquez enfin, dans la section 3, 
sur le bouton orange Split and Download.
Dans la boîte de dialogue, cliquez sur Enregistrer. 
Patientez pendant le traitement du fichier. 
Une fois l'opération complètement achevée, 
vous retrouverez votre morceau « fraîchement découpé » 
dans le dossier de téléchargement de votre navigateur.


La grande majorité des smartphones acceptent les sonneries au format MP3. 
Aussi, vous n'aurez, a priori, aucune conversion à effectuer. 
Seules quelques étapes subsistent avant de faire retentir votre mélodie préférée.

1- A l'aide du logiciel de synchronisation livré avec votre téléphone, 
ou simplement en faisant apparaître votre mobile dans l'Explorateur Windows 
tel un support de stockage externe, transférez le fichier depuis votre PC 
jusqu'à l'appareil dans le dossier approprié. 
Ce dernier est, en général, celui où sont stockés les sonneries ou les morceaux de musique. 
Naviguez dans l'arborescence pour le retrouver. 
Avec un smartphone Windows Mobile, c'est, par exemple, le dossier Mes sonneries. 
Sur un mobile équipé du système d'exploitation Symbian, c'est le dossier Sounds 
Pour les mobiles fonctionnant avec Android, il suffit de placer le fichier dans le dossier Musique.

2- Une fois le fichier transféré dans le bon dossier du mobile, 
définissez-le simplement comme sonnerie par défaut. 
Avec Windows Mobile ou Android, il faut, en général, sélectionner le fichier via l'Explorateur. 
Avec le système Symbian, c'est en passant par le menu Modes. 
Une fois l'opération effectuée, votre mobile diffuse désormais votre morceau préféré à chaque appel.


Sur un iPhone
Si vous disposez d'un iPhone, vous n'êtes pas sans ignorer qu'il ne peut fonctionner 
sans le logiciel iTunes (PC ou Mac). 
C'est précisément iTunes – et aucun autre logiciel – 
que vous allez utiliser pour transformer votre MP3 en sonnerie et la transférer sur votre iPhone.
Dans la fenêtre principale d'iTunes, cliquez surPréférences dans le menu déroulant Edition.
Dans le dossier de Téléchargements ( paragraphe 1, étape 4), 
faites un clic droit sur le fichier MP3 dont vous avez réduit la durée, 
puis sélectionnez Ouvrir avec dans le sous-menu iTunes.
Dans la boîte de dialogue, sur l'onglet Général, 
cliquez sur le bouton Réglages d'importation. 
Dans la suivante, à la section Encoder avec, 
choisissez Encodeur AAC, puis cliquez sur OK. 
Refermez ensuite la première boîte de dialogue en validant par OK.
De retour dans la fenêtre principale d'iTunes, 
faites un clic droit sur votre morceau et choisissez Création de la version AAC. 
Faites alors un clic droit sur le fichier nouvellement créé 
et cliquez sur Afficher dans l'explorateur Windows.
Dans la fenêtre de l'Explorateur, sélectionnez votre fichier et renommez son ex tension
.m4a en .m4r.
De retour dans iTunes, 
il ne vous reste plus qu'à cliquer sur votre fichier 
(qui est maintenant de type Sonnerie) 
et à le faire glisser dans la section Sonneries de votre iPhone 
préalablement connecté 
(dans la colonne grise située à gauche).
Ça y est ! La sonnerie vient d'être transférée. 
Il ne vous reste plus qu'à l'activer sur le téléphone via l'icône
Réglages et le menu Sons>Sonneries.


Pour plus d'information, rendez-vous sur l'excellent site
01Net


La parole politique du jour

Je veux, si je suis élu président de la république, 
que d'ici à deux ans, 
plus personne ne soit obligé de dormir sur le trottoir et d'y mourir de froid. 
Parce que le droit à l'hébergement, 
je vais vous le dire, c'est une obligation humaine. 
Mes chers amis, comprenez-le bien : 
si on n'est plus choqués quand quelqu'un n'a pas de toit lorsqu'il fait froid 
et qu'il est obligé de dormir dehors, 
c'est tout l'équilibre de la société où vous voulez que vos enfants vivent en paix 
qui s'en trouvera remis en cause.
Nicolas SARKOSY, le 18/12/2006

Pierre R. Chantelois
La citation du jour
La misère sera bien près d’être soulagée 
le jour où on se décidera à la connaître dans ses souffrances et dans ses hontes
Émile ZOLA

Femmes belles ou laides de Raphaël Zacharie de Izarra



Hommage à une femme

Ta beauté vaut-elle l'absolue
ou me transforme-t-elle en esclave ?
Sa loi est-elle si cruelle, 
si injuste ?
Pourquoi la beauté aurait-elle tous les droits ?

***

C’est mon privilège. 
Me dit la belle Vénus.
Elle fait la loi en ces lieux.
 Ma gloire est dans mon éclat, 
Je suis vénérée pour des lauriers gagnés par ma seule naissance !

La séduction est mon arme cinglante, 
et mes proies sont ma coutumière aventure.

Ma beauté me donne vraiment tous les droits. 
J'en abuse.
 Vous m'admirez, 
Vous me célébrez, 
Vous m'honorez.

Point, je m’efface.

Je me nomme tout simplement
L'objet de vos transports 

Je me nomme 

FEMME

Créature de luxe que j'incarne, 
le mystère à portée de lèvres... 

***

Oh, vous êtes belle, certes,
Mais plus que cela, 
Vous êtes femme en esprit. 
Née reine, vous dépassez la simple beauté !

Vous êtes féminité incarnée,
et rien que féminité !

Sous vos griffes de prestige 
J’incline volontiers le regard pour mieux vous servir, 
Sans une once d’indocilité, 
Au service de votre hautaine beauté.

Avec diligence je courbe l’échine 
Lorsque votre front me désigne, impérial. 
En silence je convoite votre chair. 
Et me plie au ton arrogant de votre voix 
Qui prononce déjà mon nom... 

Sous le poids aigu de votre talon dûment chaussé 
de cuir et de luxe, 
je vous rends hommage. 
Et baise votre pied dédaigneux.

Librement interprété et mis en forme à partir d'un texte de


Auto-portrait de Frida KAHLO

La beauté des laides
Le sentiment amoureux que peut éprouver un honnête homme 
à l'endroit d'une femme, 
contrairement aux idées reçues, 
ne s'alimente pas nécessairement des beautés sensibles 
tels que de beaux yeux et de ravissants sourires. 
Ces charmes physiques flattent la vue, assurément. 
Pourtant là n'est point la base solide et crédible, 
la terre ferme et prometteuse sur laquelle s'appuie, 
pour mieux s'élancer, 
le véritable sentiment amoureux.
On n'imagine pas, 
conditionnés par les décrets de la mode diffusant les normes d'une beauté contemporaine, 
occidentale, 
ce qui émeut réellement l'esthète averti, 
le coeur sensible, 
l'âme éveillée, 
quand le sujet de ce curieux et terrible émoi, 
au lieu de s'appeler 
"beauté", 
se nomme plus volontiers 
"disgrâce"

Je crois plus en la profondeur d'une émotion née à la vue d'un visage féminin ingrat
qu'au sentiment superficiel éprouvé face à des traits plus flatteurs. 
Je ne fais pas ici le procès de la beauté bien au contraire. 
Je suis extrêmement sensible aux charmes évidents des jolies filles, 
des belles femmes.
Cela m'empêche-t-il de vouloir rendre hommage aux autres ? 
Comme tous les garçons normalement constitués et programmés par la toute puissante Nature, 
je suis naturellement sensible à la grâce féminine, 
aux doux visages de l'amour, 
aux appas de ces demoiselles nées sous l'aile de Vénus.

Pourtant si ces dernières sont des fleurs vivantes, 
des femmes qu'il faut chérir à juste titre, 
des anges adorables qu'il est agréable de regarder passer dans la rue,
d'admirer pour leur seule beauté, 
les autres, 
toutes ces créatures à la beauté absente, 
disgraciées pour la vie entière, 
ce sont des poèmes.
Tristes et beaux.

Ces femmes sont pareilles aux brises qui agitent les blés, 
délient les longs cheveux, 
font tourner les ailes des moulins : seuls leurs effets sont visibles.
Transparentes, les laides passent inaperçues dans la rue. 
La norme ne les reconnaît pas. 
Leur attrait est indirect, subtil, mystérieux. 
Proust ne disait-il pas :
"Laissons les jolies femmes aux hommes sans imagination" ?

Il y a du roman et des soupirs dans les amours qu'elles inspirent. 
Il y a du souffle et de l'esprit chez ces femmes sans éclat. 
Le vrai poète préfère faire rimer l'amour sans atours. 
Il trouve de la grâce là où ordinairement nul ne vient s'extasier.
Lire à travers leurs traits ingrats le désir d'un amour idéalement conçu est ma plus chère ivresse. 
J'aime me faire aimer des laides. 
Quoi de plus exquis qu'un regard que l'on sait secrètement amoureux ? 
Ces pauvres visages qui regardent l'être aimé sont à l'image de ma conception de l'amour : 
empreints de noblesse,
sensibles, 
chastement inspirés, 
répandant un triste et bel état intérieur... 

A travers
elles, l'amour est un mystère encore plus beau.
La détresse physique des femmes est chose émouvante. 
Le feu intérieur en elles se révèle ardent. 
Je suis un esthète de la cause impie : 
je chante les ombres, les mortes, les haillons.
J'aime les disgraciées plus que les arrogantes déesses des grands boulevards et des salons. 
J'aime les femmes fragilisées à cause de leur aspect, 
les filles laides et sensibles, pleines d'idéal.
Les larmes des poupées de chiffon font mieux fléchir mon coeur 
que les sourires des créatures de porcelaine. 
Je suis ému par les paysages d'automne, 
touché par les sanglots, 
troublé par les violons tristes, 
séduit par les feuilles mortes, 
les fleurs brisées.

Gisèle HALIMI et la démocratie participative


Fille afgane de © Steve McCurry

Démocratie participative
Une petite révolution s’est produite la semaine dernière à l’Assemblée Nationale 
et est passée plutôt inaperçue.
On n'en a pas beaucoup parlé et pourtant, le 18 février, 
c’était la première fois que la procédure du vote d’une résolution par l’assemblée nationale, 
une procédure nouvelle, issue de la réforme des institutions de 2008, était utilisée. 
L’Assemblée Nationale a donc voté une résolution à l’unanimité moins 7 voix, 
une résolution qui reprend les conclusions du travail fait par l’association Choisir, 
présidée par l’avocate féministe Gisèle Halimi.
Gisèle Halimi
Les parlementaires ont approuvé le principe, 
dit « de la femme la plus favorisée en Europe ». 
Gisèle Halimi qui avait, 
dès la première élection du parlement européen au suffrage universel, en 1979, 
émis une idée originale et à la fois très simple : 
établir un programme de réforme dans le domaine des droits de la femme 
qui reprendrait et adapterait 
(pour la France et pour tous les pays qui adopteraient ce principe) 
les législations les plus favorables sur le continent, liées aux droits des femmes. 
Par exemple, on déciderait d’adopter les règles en vigueur en Espagne 
concernant les violences faites aux femmes, 
les dispositions de congés parentaux suédois, 
la parité comme les Belges, 
la criminalisation du viol comme en France. 
Bref, on prendrait ce qui se fait de mieux dans chaque pays européen. 
La résolution déposée par le PS et votée aussi par l’UMP, 
les verts et les communistes dit clairement que 
la France doit s’engager dans cette voie de l’harmonisation par le haut. 
La Belgique a déjà voté une telle résolution, d’autres pays l’étudient.

Information provenant du lien suivant

Gisèle HALIMI
milite aujourd'hui pour une Europe plus féministe.
80 ans, avocate, cofondatrice de CHOISIR la cause des Femmes.
Gisèle Halimi n’a pas renoncé à changer le monde.
Son nouveau combat :
l’adoption par l’Europe de « la clause de l’Européenne la plus favorisée ». 
C'était ce que nous pouvions lire dans un article dans "Elle" du 8 octobre 2007.
Elle est aujourd'hui parvenue à ses fins
mais ne doutons pas de sa vigilance
pour que des intentions, nous passions aux actes concrets.






Une petite parenthèse en hommage à un personne que j'aimais
Kriss
Connaissiez-vous Kriss ?
Elle nous a quittés trop tôt comme toutes les personnes que nous aimons,
et je l'aimais même si je ne la connaissais qu'à travers les ondes
où je la "rencontrai" pendant quelques minutes précieuses
au travers de son émission 
Crumble
Elle avait débuté en 68, à 20 ans, sur France Inter. 
Sa dernière émission, lancée en 2005 lui ressemblait dit-on : 
ouverte sur le monde, mutine comme sa voix de gamine 
et propulsée par "l'esprit d'aventure".
Moi, j'aimais effectivement sa voix,
mais aussi sa façon de converser avec ses invités.
Chaque dimanche, sur France Inter, 
Kriss nous emmenait vers une aventure :
celle de l'esprit. 
Ainsi, avait-elle interviewé Gisèle Halimi, 
« cette femme qui a vraiment risqué sa peau pour aider les femmes 
ou lutter contre la torture ».
Et quel plaisir de les entendre toutes les deux !
D'autres fois,  c'étaient des anonymes
mais toujours passionnants.
Ses invités se suivaient et ne se ressemblaient pas : 
d’Alain Chabat à Salah Guemriche, auteur d’un dictionnaire des mots d’origine arabe, 
d’Isabelle Carré à Bernard Marck, historien de l’aviation.
 On dit que les auditeurs entretenaient des relations passionnées avec elle : 
« A la radio, on est dans une extrême proximité avec les gens. 
Sous leur douche. Dans leur voiture… 
Je réponds à tous les mails, même désagréables… »
Bien loin de l’île déserte, disait-elle.



Mais revenons à Gisèle HALIMI
et ne nous résignons pas !
Couverture du livre de Gisèle Halimi
Le dernier livre de l’avocate féministe et militante des droits de l’homme 
égrène plus de quarante années de combats menés pour le droit des femmes en France
et recense ceux qu’il leur reste à mener.
Le propos du livre insiste sur une indépendance d’abord financière 
comme garant inconditionnel de l’autonomie sociale des femmes, 
et dénonce la précarité qui renforce la soumission et la perpétuelle résignation. 
Et Gisèle Halimi de pousser la réflexion jusqu’à la question du conditionnement originel : 
« [...] l’amour physique transforme-t-il une femme libérée, 
indépendante, féministe active, en femelle ? » (p. 138) 
Une sérieuse introspection lui permet de trancher et de concevoir le fait que l’amour 
peut ne pas être une aliénation.
 Pour faire court et simple, avant 1968 et la révolution sexuelle, 
le corps des femmes ne leur appartient pas. 
« Si l’homme est son corps, la femme, coupée d’avec lui, se dédouble. » (p 67) 
Avant l’avènement de la pilule contraceptive et l’autorisation de l’avortement en France, 
les femmes sont limitées dans leur épanouissement sexuel par l’angoisse de la grossesse probable, 
vécue comme une véritable sanction. 
Cette possession du corps de la femme par elle-même est analysée sur plusieurs chapitres 
qui questionnent la maternité, le désir d’enfant 
(avec lequel Gisèle Halimi n’est pas tendre), 
la prostitution, la violence conjugale, le travail partiel, 
l’asservissement des tâches ménagères 
qui génère des doubles journées et la quasi-totale fermeture de 
la sphère politique au sexe féminin. 
« La parité domestique, par exemple,
[est l’]essentiel partage dans le couple des tâches du foyer car elle conditionne, 
en grande partie, l’intégration politique de la citoyenne à part entière. » (p. 206). 
Et l’auteure de trancher par ailleurs : 
« En l’état, la parité ne répond pas à l’espérance féminine. »(p. 205)
Extrait
du blog publié le 28 janvier 2009 par Adadala


Fille afgane de © Steve McCurry


Information sur les photos de Steve McCurry


Ces photos ont été prise au camp de réfugiés Nasir Bagh,
près de Peshawar au Pakistan en 1984.
L'afghane aux yeux verts est devenue le symbole de la force face à la guerre à la fin du 20ème siècle.
Son habit souillé et son visage sali a inspiré la compassion à travers le monde.
La clarté et la force de ses yeux verts ont encouragé un pont entre son monde et l'Occident.
Cette photo, plus que toute autre, a servi d'emblème international pour une ère en difficulté.
La suite sur
Le blog de Tom



La citation du jour
« L'admission des femmes à l'égalité parfaite serait la marque la plus sûre de la civilisation, 
elle doublerait les forces intellectuelles du genre humain, et ses probabilités de bonheur». 
(Stendhal)

 C'est fini pour aujourd'hui.

 Demain est un autre jour...

Florian MONA



Le Breton Florian Mona sort son premier album intitulé
Florian Mona (14 avril 2009) 
dans un style pop-rock auquel l'instrumentation, 
entre le banjo et l'harmonica, confère un léger style rétro.

De 1998 à 2003, 
l'auteur-compositeur-interprète rennais Florian Mona 
s'illustre à la batterie au sein du groupe de pop punk Twirl Comics 
qui se produit régulièrement en première partie de groupes comme 
Dolly, No One Is Innocent ou Dionysos.

Après la dissolution de Twirl Comic, 
Florian Mona est musicien du groupe Maël, jusqu'en 2006, 
figurant ainsi sur deux de leurs albums. 
Il monte également Monarica en tant que chanteur et compositeur.

En 2006, Florian Mona entame sa carrière solo 
et compose ses chansons dans un style pop-folk.
Elu coup d'cœur du Club Entreprise 2007, 
il se produit aux Francofolies et aux Transmusicales l'année suivante, 
et enchaîne les premières parties de 
Jean-Louis Murat, Brigitte Fontiane, Keren Ann ou Emily Loizeau.

En 2008, 
Florian Mona, 
désormais accompagné du bassiste Nicolas Guérin, 
du guitariste-banjoïste Vincent David et 
du batteur Gilles Morillon,
 enregistre son premier album intitulé Florian Mona (14 avril 2009) 
qu'il présente avec les simples
 « L'Esquimaude » et « Tourne ».

Copyright 2010 Music Story Sophie Lespiaux


Florian Mona - @ Yann Orhan
Il admet avoir beaucoup écouté 
Alain Bashung, Dominique A, 
Jean-Louis Murat « pour la poésie, pour les images ». 
Mais l’essentiel de sa culture est anglo-saxonne, 
de Pavement à Nirvana. 
« Je n’écoutais pas les textes mais je ressentais les émotions. 
Alors j’aime avoir les poils qui se dressent sur la peau et c’est ce que je cherche. » 
C’est par exemple un choc fondateur comme Everybody Knows 
chanté par Leonard Cohen dans le film Pump Up the Volume
 – « ah !, sa voix caverneuse sur les arrangements un peu cheap des années 80… »
Il cherche à retrouver ce mélange de vertige et de jubilation, d’évidence et de sophistication. 
Quand il a construit une ambiance avec quelques détails, 
il fait tourner la base de la chanson, laisse le texte s’imposer naturellement. 
Puis il va au studio de Romuald Gablin (Mael, La Casa) 
pour en achever la transmutation en ces objets quasi cinématographiques. 
Pour l’album, la prise de son et le mixage ont été confiés à Stéphane Prin 
(prises de son avec Romuald Gablin), 
qui a produit plusieurs albums de Jean-Louis Murat 
depuis Le Moujik et sa femme ainsi que Le Fil de Camille. 
Mais Florian Mona veut aussi que ses chansons « tiennent » sur scène. 
Après ses premières parties en solo de Katerine, Emily Loizeau ou Vénus, 
il tourne maintenant en trio.


Les dernières nouvelles de Florian MONA
sur son site

Pour ma part je retrouve un peu de 
Mickey 3D
dans ses chansons, dans l'intonation de la voix et la rythmique.

C'est fini pour aujourd'hui,
Demain est un autre jour...

Ma bibliothèque virtuelle




La bibliothèque de l'@phémère
s'enrichit de jours en jours.
Parfois cela passe inaperçu...
Juste un nouveau lien ajouté dans mes listes !
Et pourtant autant d'occasion de faire des découvertes.

Alors, aujourd'hui, je mets ces liens au devant de la scène.


Cliquez sur les titres pour accéder aux publications


Voici donc
Les derniers diaporamas photos 
pour s'évader et
pour le plaisir des yeux !

De nouveaux sujets d'information

qui ne peuvent laisser indifférents !


Je ne suis prêt à éveiller que celui qui cherche ardemment à comprendre, 
à guider que celui qui s’efforce de s’exprimer." ... 
Confucius

Et votre santé ?

Ces informations peuvent vous sauver la vie !

J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé.

Voltaire




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